L'affaire remonte à 2022 lorsque Netlist a déposé une plainte contre Samsung, alléguant que les modules de mémoire utilisés dans les serveurs de cloud computing et d'autres technologies à forte intensité de données ont violé ses brevets.
Le jury a également déterminé que l'infraction de Samsung était délibérée, ce qui pourrait inciter le juge à tripler les dommages-intérêts accordés.
Samsung a nié les allégations, faisant valoir que les brevets en question ne sont pas valides et que sa technologie est différente des inventions de Netlist.
Auparavant, Samsung et Netlist avaient un accord de licence de brevet, mais il a expiré en 2020.
The patent dispute between the two companies can be traced back to late 2021, when Netlist accused Samsung of using technology from their former collaboration in HBM2/2E/3 and DDR4 LRDIMM, as well as DDR5 UDIMM/SODIMM/RDIMM memory, thereby infringing oncinq de ses brevets.
En avril 2023, le tribunal de district américain du district oriental du Texas a statué en faveur de Netlist, jugeant Samsung coupable de contrefaçon et accordé 303 millions de dollars en dommages-intérêts.
Samsung soutient que les cinq brevets dans ce cas manquent d'originalité et affirme que les technologies des produits connexes sont distinctes des brevets de Netlist.Suite au jugement, Samsung a intenté des poursuites contre l'invalidation contre les brevets de netlist contestés.